Les chiffres chocs du Black Friday !

Si vous êtes quelqu’un de connecté, vous avez sans doute remarqué que votre messagerie ainsi que vos réseaux sociaux ont été assaillis de publicités pour le Black Friday. Ce fameux vendredi noir (ou vendredi fou) que presque toutes les grandes marques nous ont imposé du jour au lendemain. Voici quelques explications sur l’origine de ce phénomène.

C’est quoi le Black Friday ?

Le Black Friday ou vendredi noir en français nous vient comme vous devez vous en douter des États-Unis. C’est le lendemain de Thanksgiving qui correspond au 4ème jeudi de novembre. C’est le jour où les américains font le pont pour partager un repas avec  la famille. Le nom de Black Friday est né dans les années 60. Notamment à cause des embouteillages sur les routes mais aussi pour la couleur des comptes des entreprises américaines qui passent du rouge au noir ce jour là car elles réalisent leur plus gros chiffre d’affaires.

Black Friday en France

Le phénomène est en train d’envahir l’Europe et la France n’est pas en reste. D’ailleurs on constate une hausse de 5,9% du chiffre d’affaires de certaines entreprises de l’héxagone pendant cette période. Les secteurs qui en bénéficient sont la mode, les livres et le high-tech. Le Black Friday a donc encore de belles années devant lui, puisqu’il a lieu 1 mois avant les fêtes de fin d’année et de nombreux ménages en profitent pour anticiper leurs achats de Noël mais attention aux arnaques ! UFC Que Choisir, appelle à la vigilance car certaines enseignes en profiteraient pour gonfler le montant de la ristourne accordé aux consommateurs.

Et l’environnement dans tout ça ?

Plusieurs études internationales tirent la sonnette d’alarme car qui dit Black Friday, dit consommation de masse voir surconsommation. Greenpeace alerte sur les conséquences néfastes pour la planète. La fondation parle d’un impact écologique en comparant l’an 2000 à 2016. Elle indique qu’il y a eu hausse une d’achats de vêtements de 60% comparé à 2000. Une autre étude réalisée par la fondation Ellen Mcarthur datant elle aussi de 2016 révèle qu’1 camion de vêtements est jeté toutes les secondes dans le monde. L’ONU indique quand à elle que les appareils électroniques fréquemment renouvelés à la suite du Black Friday seraient à l’origine de 45 millions de tonnes de déchets électroniques d’après des chiffres de la même année. Seuls 20% seraient recyclés et le reste polluerait notre environnement.

Pic d’achats en ligne

Pour assurer la livraison de ce pic d’achats en ligne, The Guardian, affirme que le Royaume-Uni a utilisé 82 000 vans et camions diesel en 2017. Le journal britannique explique qu’une partie de ses achats sont renvoyés par les clients sans être revendus. Certaines marques préférant ne pas les revendre jugeant leur reconditionnement trop compliqué. La chaîne de télévision allemande ZDF va même jusqu’à affirmer qu’Amazon Allemagne jetterait 30% de ses produits et que le reste serait tout simplement détruit !

Conclusion : le Black Friday n’est pas bon pour la planète car en participant à cette surconsommation, les consommateurs nuisent à l’environnement !

En 2024 chaque étudiant parlera 2 langues
En 2024 chaque étudiant parlera 2 langues
Une récente étude explique pourquoi les français ne parlent pas l’anglais et pourquoi le président de la République, Emmanuel Macron souhaite qu’en 2024 chaque étudiant parle 2 langues européennes. Il s’agit d’une étude réalisée auprès de 950.000 personnes dans 72 pays par l’institut Education First. Selon cette étude, les Français ont une connaissance moyenne en anglais. Mais les français  ne sont pas les seuls européens à avoir ce niveau. En effet, les espagnols, les italiens, les russes et les ukrainiens ne sont pas en reste non plus. Ce sont plutôt les pays du nord de l’Europe que l’ont trouve en haut du classement mondial. Ce qui n’est d’ailleurs une surprise pour personne ! Leur pôle position s’explique aussi par le fait que les langues de ces pays ne soient quasiment pas parlés en dehors de l’Europe.
La qualité moyenne de la maîtrise de langue de Shakespeare par les français est aussi due au simple fait que nous n’entendons presque jamais quelqu’un parler l’anglais. À la télévision française tous les programmes sont doublés et lorsqu’un anglophone est invité, sa voix est systématiquement couverte par celle d’un interprète.
L’étude d’Education First soulève le fait que le pourcentage du total des dépenses consacré à la scolarisation soit moins élevé que dans d’autres pays européens. Ce pourcentage est de 11,6 aux Pays-Bas alors qu’il n’est que de 9,7% en France. Le fait que les classes soient constituées de 35 élèves au lieu de 25, comme c’est le cas dans d’autres pays européens, ne favorise pas non plus la maîtrise de l’anglais. Enfin, cette enquête nous apprend également que le nombre d’heures accordées à l’apprentissage des langues étrangères est insuffisant dans l’hexagone. Dans d’autres pays européennes tels que le Danemark ou la Finlande, pour ne citer qu’eux, les élèves ont 2 heures de cours d’anglais par semaine avec un apprentissage essentiellement basé sur l’oral.
Conclusion, il devient grand temps que nous remettions en question. Que le nombre d’heures de cours en langues étrangères auprès des plus jeunes soit augmenté, que les classes de langues soient réduites, que l’anglais soit plus présent sur nos écrans. À moins que le problème soit ailleurs. Peut-être devrons nous un peu plus nous concentrer sur l’aspect communicatif des langues étrangères plutôt que sur les règles de grammaire. Nous les appelons pourtant ‘langues vivantes’, à nous maintenant de les faire vivre !

Classement mondial de la compétence en anglais :

01 Suède

02 Pays-Bas

03 Singapour

04 Norvège

05 Danmark

06 Afrique du Sud

07 Luxembourg

08 Finlande

09 Slovénie

10 Allemagne

11 Belgique

12 Autriche

13 Pologne

14 Philippines

15 Suisse

16 Roumanie

17 Croatie

18 Serbie

19 Portugal

20 République Tchèque

21 Hongrie

22 Malaisie

23 Grèce

24 Slovaquie

25 Bulgarie

26 Lituanie

27 Argentine

28 Inde

29 Nigéria

30 Hong-Kong, Chine

31 Corée du sud

32 Espagne

33 Liban

34 Italie

35 France

 

Les 25 sites touristiques les plus visités au monde

Les 25 sites les plus visités au monde ne sont pas ceux auxquels vous pensez

Nous avons souvent des idées reçues sur les sites touristiques les plus visités au monde. Surtout nous français car ne nous a-t-on pas dit que Paris était la plus belle ville du monde ? De ce fait, si on vous demandez de faire un classement des monuments les plus visités au monde il y a fort à parier que vous classeriez la Tour Eiffel ainsi que le musée du Louvre dans le top 5. Sachez que la Tour Eiffel accueille effectivement près de 7 millions de visiteurs par an tandis que Le Louvre en accueille 9 millions. C’est deux sites français sont-ils aussi bien placés que vous le pensez ? Qu’en est-il pour les deux sites religieux français, le Sacré-Coeur et la cathédrale Notre-Dame de Paris qui accueillent respectivement 10,5 et 13,6 millions de visiteurs ? Est-ce suffisant pour figurer parmi les attractions les plus prisées de la planète ? Regardez le classement ci-dessous, vous allez sûrement être surpris en découvrant quels sont les 25 sites les plus visités au monde !

Classement des sites les plus visités au monde (en millions de visiteurs par an)

1. The Strip, Las Vegas, Nevada, États-Unis : 39,2 millions

2. Time Square, New-York : 39,2 millions

3. Central Park, New-York : 37,5 millions

4. Union Station, Washington : 32,8 millions

5. Les Chutes du Niagara, États-Unis et Canada : 22,5 millions

6. Grand Central Station, New-York: 21,6 millions

7. Faneuil Hall, Boston : 18 millions

8. La Cité interdite, Chine : 15,3 millions

9. Grand Bazar, Istanbul, Turquie : 15 millions

10. Cathédrale Notre-Dame, Paris : 13,6 millions

11. Golden Gate Park, San Francisco : 13 millions

12. Sacré-Coeur, Paris : 10,5 millions

13. Promenade Tsim Sha Tui, Hong Kong : 10,1 millions

14. Pike Place Market, Seattle : 10 millions

15. Plaza de la constitucion, Mexico City : 10 millions

16. Navy Pear, Chicago : 9,2 millions

17. Musée du Louvre, Paris : 9,2 millions

18. La Grande Muraille de Chine : 9 millions

19. South Streer Seaport, New-York : 9 millions

20. Pear 39, San Francisco : 8,5 millions

21. Sydney Opera House : 8,2 millions

22. Musée National d’histoire de Smithsonian, Washington : 8 millions

23. Vistoria Peak, Hong-Kong : 7 millions

24. National Air and Space Museum, Washington : 7 millions

25. La Tour Eiffel, Paris : 7 millions

60% des animaux sauvages ont disparu de la terre !

L’organisation mondiale WWF a publié son dernier rapport Planète vivante le 30 octobre 2018 dans lequel elle indique que 60% d’animaux sauvages ont disparu de la terre entre 1970 et 2014. Les zones les plus touchées sont essentiellement les zones tropicales décimés par la déforestation. Précisons que ce chiffre était 54% pour la période 1970-2010 et de 58% pour la période de 1970-2012.

La cause principale de cette déforestation est la demande mondiale en alimentation donc en terres agricoles. On considère que l’agriculture est la cause de 70% de la déforestation mondiale. L’un des responsables agriculture chez WWWF-France, Arnaud Gauffier, considère que la déforestation correspond à une perte d’une superficie équivalente à 40 terrains chaque minute. Les zones les plus touchées étant l’Asie du Sud-Est, des pays d’Afrique tels que le Cameroun, le Congo-Brazzaville, la République Démocratique du Congo et le Cameroun. Il est estimé qu’en Amérique du sud et en Amérique centrale, des pays tels que le Brésil ont perdu une grande partie de la surface de leurs savanes et de leurs forêts à cause de la culture de soja et de l’élevage de bœufs. Dans ces zones, la dégradation de l’habitat des animaux sauvages atteint 89% !

L’agriculture intensive n’est pas la seule cause de ce phénomène inquiétant. À cela s’ajoute, la dégradation des sols, la surpêche, le dérèglement climatique et la pollution plastique. Il s’agit là de la plus grande accélération exercée par l’homme sur les écosystèmes. Les animaux les plus touchés sont l’éléphant africain victime des braconneurs, l’orang-outan de Sumatra et de Bornéo, victime de la déforestation, les manchots Adélie en Antarctique victime de l’augmentation de la température. Mais d’autres animaux sauvages qui nous sont plus familiers sont également touchés. D’après les données chiffrées il disparaîtrait trois éléphants par heure, deux tigres par semaine et trois rhinocéros par jour …

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